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SYMPOSIUM 2 : GEOSCIENCES ET NUMERIQUE

Sandra Brocheray (UniLaSalle), Julien Duquennoy (UniLaSalle), Julien Schmitz (IFPEN)

 

Ce symposium vise à mettre en avant les innovations méthodologiques et géologiques permises par les nouvelles technologies et sciences du numérique.

Le monde des géosciences, ici à travers le domaine de la sédimentologie et de l’étude de bassin, repousse désormais les frontières de la représentation 3D par l’obtention de données jusqu’alors inaccessibles. Acquisition drones, photogrammétrie, LIDAR, géomodélisation 3D de terrain et de processus sédimentaires, casque de réalité virtuelle, impression d’objets géologiques en 3D … l’affleurement est désormais à portée de bureau. Et si la réalité augmentée changeait les pratiques de terrain ?

Ce symposium constitue une opportunité pour des sessions souhaitant mettre à l’honneur les méthodologies d’acquisition télé-opérées (drone, …), les modélisations stratigraphiques ou autres objets géologiques complexes, les simulations de processus sédimentaires ou toutes autres innovations portées par le numérique. Les discussions autour des possibilités offertes par le machine learning(analyse automatisée de données de terrains) et le Big data seront également les bienvenues.

Mots-clés : drone, lidar, photogrammétrie, géomodélisation, simulation numérique, 3D, big data, machine learning, (…).

 

SESSION 2.1 : Apport des technologies drones dans l’acquisition de données de terrain.

J. Schmitz (IFPEN), R. Deschamp (IFPEN), S. Brocheray (B2R, UniLaSalle)

Cette session porte sur l’intégration des drones comme outils pour les études géologiques et tout particulièrement sur les apports sur le monde de la sédimentologie. En quelques années la technologie des drones est devenue de plus en plus accessible grâce à des outils puissants supportés par des capacités de calculs des ordinateurs en constante augmentation. Les drones et la photogrammétrie bousculent la manière d’acquérir la donnée en permettant de traiter les objets sous une toute nouvelle dimension encore jusque-là inaccessible sur le terrain. Les objets géologiques et sédimentaires peuvent être maintenant modélisés, mesurés et ainsi mieux compris grâce à cette nouvelle échelle proposée par l’utilisation des drones. Cette session propose des discussions autour de l’utilisation de cette technologie dans les domaines des géosciences.

 

SESSION 24.2 : Cartographie et modélisation des transferts et processus littoraux - Commune au Symposium 4.

O. Bain (Géosciences, UniLaSalle), I. Farout (STIM, UniLaSalle)

Quelle cartographie pour quelle modélisation ? La modélisation des transferts et processus littoraux permettent une communication accrue entre les scientifiques, acteurs locaux et donneurs d’ordre.

Une des questions majeures que nous devons nous poser actuellement est : quelle cartographie pour quel modèle ? Les objectifs de cette session permettront de caractériser et définir au mieux les données d’entrée en adéquation avec la modélisation des transferts et processus littoraux proposée. Cette session est ouverte à toutes communications et/ou études de modélisation traitant de la quantification ou de la prévention sur les transferts et processus littoraux.

 

SESSION 21.3 : Modélisation des processus dans les bassins sédimentaires : production, transport et dépôts - Commune au Symposium 1.

D. Rouby (GET, Univ. Toulouse), D. Granjeon (IFPEN), J.L. Grimaud (Mines-Paritech)

Cette session vise à regrouper les travaux s’adressant aux différents processus sédimentaires (érosion, transport, sédimentation), leurs interactions avec la déformation des bassins et les architectures stratigraphiques résultantes en s'appuyant tout ou partie sur l'expérimentation analogique ou numérique. Elle se focalisera notamment sur la quantification de l'impact des forçages extérieurs (climat, déformation, flux sédimentaires, ...) sur la géométrie des corps sédimentaires et leur préservation dans les archives - depuis l'échelle régionale à celle du réservoir.

 

SESSION 2.4 : Contribution des SIG dans les recherches conduites en Géosciences.

V. Hanquiez (EPOC, Univ. Bordeaux), P. Saulet (Agrosciences, UniLaSalle)

Utilisés de façon marginale au début des années 2000, les systèmes d’information géographique (SIG) se sont depuis démocratisés et leur utilisation ne cesse de croître dans le domaine des géosciences. Dans certaines thématiques, cet outil est devenu incontournable et indispensable, notamment par la richesse des analyses spatiales, l’aspect transdisciplinaire et l’approche cartographique qu’il offre.

Cette session, à vocation technique et scientifique, se veut un lieu d’échange et de confrontation des pratiques issues de l’utilisation des SIG en géosciences.

 

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